Lundi 1 Janvier - Mensonges et vérité.

Mélusine sut qu'elle parlait de Bellatrix Lestrange, celle qui avait participé à la torture des londubats. Elle secoua la tête puis elle sourit à sa mère en prenant un morceau de chocolat. Elle regarda l'étiquette et vit que c'était le alléger.

- Ah non ! J'en ai prit un autre moi.

Elle lui sourit malicieusement, partit dans la cuisine et revint avec la plaquette de chocolat aux éclats de noisette .. bref, le tout bien callorique.

Orianne garda qson calme durant 5 secondes....

"PASSSSSSE UN MORCEAUUUUUUU !!!! PITIééééé !!! tan pis pour les caloriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiies !!!!"

Mélusine lui tira la langue et s'enfouit avec le dit chocolat. Elle se mit derrière la table, à l'opposée de sa mère. Elle prit un petit morceau et le mangea. Dès lors, ses yeux pétillièrent.

- Délicieux, exquis, sensationnel.

"Ouiiiiiiiiiin !!!"

Orianne heureuse de passer à autre chose que cette conversation horible, fixait le chocolat avec regrets....

- Ha, non ! Ne fais pas ces yeux là, ca ne marche pas avec moi.

Elle lui tourna le dos en souriant tout en lui jetant des regards en coin. Puis finalement elle contourna la table.

- Allez, on va prendre 2kg !

"OUAIS !!!! Super.... ^^"

Orianne rigola.

" Qu'est-ce qu'on ferai pas pour du chocoat... ^^"

- C'est sure ! confirma Mélusine. C'est mon péché mignon ... ma drogue. Je ne peux plus m'en passer, dit-elle en rigolant.

Finalement, l'ambience s'était détendu dans la maison.

" Hé bah ça ma chérie, tu le tiens de moi !!!! Enfin un truc... Ca me rassure ! ^^"

Orianne pensa à un détail que selon elle, sa fille aurait du relever.

*étrange, elle devrait avoir remarqué que elle, son père... Ca colle pas...*

Mélusine éclata de rire en tournoyant sur elle même mais elle s'arrêta en voyant l'air soucieux de sa mère.

- Quelque chose ne va pas ? Et ne me dit pas rien !dit-elle en levant le doigt avec un air faussement sévère.

"Oh... Euh... Je pensais juste à un truc, mais c'est pas important... "

Orianne se concentra sur sa tasse de thé... En remarquant qu'elle n'était pas très discrète quand elle pensait...

Mélusine croisa les bras et tapa du pied.

- Maman, dit-elle dangereusement.

Puis elle prit un air larmoyant, un air de chien battu.

- Steu plait ...

"Non... Je t'assure... C'est juste un truc... Mais si ça te choque pas... C'est pas grave... "

Elle reprit un morceau de chocolat... Quite à passer pour un gros porc morfale...

Melusine reprit le chocolat des mains de sa mère.

- Si tu ne me dis pas ce que c'est, plus de chocolat, dit-elle en cachant le dit chocolat derrière son dos.

"AAAAAAAAAARRRGGGHHHH !!! Bien je dirais tout !!! J'ai cru que tu aurai remarqué que 9 mois avant ta naissance, ton père était en fermé dans un quartier de haute sécurité à Azkaban..."

Elle lacha ça le plus vite possible et cria ensuite :

"CHOCOOOOLAAAAAAAAAAAAT !!!"

Mélusine, sous l'effet de la surprise, laissa tomber le chocolat par terre.

- Que ... qu'est-ce que tu veux dire par là ?

Elle était de plus en plus perdu.

"Bah... Que... Enfin... Déduis le toi ! Allez ! Devine... T'es pas si bête ! tu tiens de lui..."

Orianne était contente de voir qu'elle s'emmelait les pinceaux...

Mélusine pointa un doigt accusateur sur elle même si un sourire amusé flottait sur ses lèvres.

- Ne retardes pas le moment.

Puis elle se dirigea vers elle, pointant la lumière de sa baguette sur son visage.

- Avoues !

"Bah... C'est pas très flatteur, je sais... Mais tu as été conçue... Euh... Dans al cellule de ton père... A Azkaban... "

Regard innocent, sourire en coin et ces yeux là => ^^'

O_o

- Dans la prison d'Azkaban ... rien que ca. Et bien, c'est pas commun ca. J'ai déja entendu dans la salle de bain ou encore la cuisine ... mais là tu dépasses les limites de mon imagination, dit-elle un brin ironique et avec un sourire flottant sur ses lèvre.

" En fait, ce n'était pas prévu ! Il était déjà enfermé depuis un an. Comme je travaillais déjà au ministère, j'avais été voir le ministre en personne pour lui demander l'autorisation d'aller à Azkaban voir l'un des prisonnier. Sans spécifier qu'il s'agissait de mon mari... Saleté de ministre.... Pour qu'il accepte, j'ai même dû... Enfin ! Peut importe.
Je suis allée à Azkaban et crois moi, à l'époque c'était le pire endroit au monde. J'ai dû suivre les détraqueurs... Ils m'y ont emmené. Il était dans un coin de sa cellule, recroquevillié sur lui même. Les yeux fermés et pourtant réveillé. Il m'a entendu approcher mais n'a pas bougé, ni levé les yeux vers moi pour autant. Et d'un coup, il s'est levé, en hurlant et a foncé vers moi, comme s'il allait me tuer. Ses chaines l'ont retenus. Il ne pouvait pas me toucher. J'avais peur tout à coup. Cet homme n'était en rien celui que je connaissais. Et pourtant...
Cependant, il ne m'avait pas encore reconnu. Il semblait... Je ne sais pas comment dire... Fou ! Ou... Dans un état second. Il était perdu. Tout était chamboulé dans son esprit et ça se voyait. Puis, il est tombé à genoux devant moi, plus parce que ses mains étaient blessées tant il tirait sur ses chaines que pour autre chose.
Là, j'ai prit mon courage à deux mains et je suis arrivée près de lui, me suis agenouillée moi aussi. J'ai prit son visage dans mes mains et lui ai murmuré que c'était moi, Orianne, et que je l'aimais. Il ne comprennait pas. Il ne voyait rien nettement et j'ai dû répéter pendant plusieurs minutes avant qu'il ne semble me remarquer enfin. C'était comme si... Il avait fumé de l'herbe !"

Orianne s'interrompit et ramassa le chocolat que sa fille avait par surprise laissé tomber quelques minutes auparavant.

Mélusine s'imaginait a situation et un petit frisson la parcourut. Elle se secoua la tête pour chasser les images sordides qui lui venaient à l'esprit. Puis elle pensa au minitre ... elle allait l'étrangler, l'evicérer, lui arracher les dents une par une, lui sortir les yeux avec une petite cuillère ...

Puis elle se tourna vers sa mère et lui prit la main. Elle était légèrement mal à l'aise.

- Ecoutes, quand je vous ai vu ... tu sais quand j'ai, hum, découvert qui il était, j'ai réagis bêtement. Je n'ai pas pris en compte des sentiments et ... je ...

elle baissa la tête, un peu honteuse.

" Bah... C'est pas très grave... Il a tellement changé depuis qu'il est devenu mangemort qu'il est presque comme un homme différent. Je l'aimais et je l'aime encore beaucoup. Seulment... Il est très dangereux. Il peut être doux comme un agneau et virer psychopathe en moins d'une minute. "

Orianne lui tendit le chocolat.

" Tiens !!! Prend la molécule du bonheur ! Ca ira mieux !"

Mélusine prit vivement le petit carré de chocolat et le dévora en moins d'une seconde. Mais maintenant, un sourire serein, heureux étirait ses lèvres.

- Et il sait pour moi ? demanda t-elle en déchirant une autre plaquette de chocolat.

Elle enfila les morceaux. A ce rythme, elle aura engloutit toute la plaque en moins de deux minutes.

" Oui. Je lui ai dit et il t'as vu une fois. Mais... Ce soir là il était plutôt calme, et e lui ai expliqué que je ne voulait pas qu'il te connaisse plus, que je ne voulais pas que tu le rencontre. J'ai cru que c'était mieux pour lui comme pour toi."

Orianne attendit de voir la réponse de sa fille avec apréhension.

Mélusine ouvrit encore une autre plaquette de chocolat. Elle haussa les épaules dévorant encore et encore cette nouriture si délicieuse.

- Tu as peut être raison ... Il m'a vu quand ? demanda t-elle très curieuse.